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La fabrication de nos médailles

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Un savoir-faire "made in France"…

Cela fait six générations que la Maison Augis est reconnue pour son savoir-faire. Ses médailles de baptême sont réalisées dans le plus grand respect de la tradition, avec comme maître-mot : la qualité. Depuis toujours, nos bijoux sont créés par des artisans spécialisés, à l’aide d’outils de haute qualité dans nos ateliers français.

Fabrication Française

 

De l'œuvre originale au poinçon …

Tout commence avec le talent du sculpteur dont la main doit faire vivre dans la glaise le thème proposé par Augis.

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De l'œuvre originale, soit un moulage intermédiaire négatif en creux, on obtient un moulage en matière dure (bronze ou résine) positif. Cette reproduction fidèle sera ensuite numérisée en un fichier de points afin de reproduire par gravure dans l’acier, les moindres reliefs de l'œuvre originale de l'artiste.

C'est ainsi que l'on réalise le poinçon qui, dès ce stade, représente déjà en trois dimensions l'idée exacte de ce que sera la médaille.

De la matrice à la médaille frappée…

Pour obtenir la matrice, on enfonce très lentement, mais avec force, le poinçon dans un bloc d'acier non trempé dans lequel ses reliefs s'impriment en creux. C'est un négatif de la future médaille.

Ayant par ailleurs déjà préparé des "flans", c'est-à-dire de petits blocs de métal précieux, on les estampe sur de très puissantes presses. Sous la force de la pression, le métal précieux s'enfonce dans le sujet gravé en creux dans la matrice et commence à prendre son relief.

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Il faut de 5 à 15 passages sous les presses pour obtenir une médaille de qualité. Entre chaque passe, la médaille est recuite pour assurer l'équilibre physico-chimique du métal et donc en détendre les molécules. La manœuvre est semblable à celle d’un forgeron qui porte son fer au rouge, avant de le battre.

Chez Augis, cette cuisson se fait dans des fours tunnel en atmosphère neutre afin d'éviter tout contact avec l'oxygène de l'air et donc toute oxydation lors de cette opération.

Une minutieuse finition…

A ce stade, la médaille est prise en charge pour être finie à la main. Cela comporte plusieurs étapes :

Il faut tout d’abord fixer la bélière (voire éventuellement l’anneau de la bélière, bien que la majorité des médailles soient frappées dans un seul bloc d’or massif). Ce travail requiert une suite d’opérations très minutieuses, qu’il faut voir exécuter pour vraiment les apprécier. Il est en effet difficile d’imaginer tout le soin apporté à cette seule petite bélière. Ce travail pourrait à lui seul résumer la qualité d’Augis.

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Selon les modèles, la médaille sera ensuite décorée par un lapidage-facettage conçu et piloté par informatique, puis gravé à l’aide d’un outil diamant. Alors ces petits blocs d’or travaillés, encore à « l’état brut », vont totalement changer d’aspect grâce à plusieurs traitements électrolytiques et chimiques de leur surface.

Une à une, chaque médaille est reprise à la main et, après examen, mise en couleur grâce au procédé exclusif de la patine signé A. Augis. Elles prennent enfin vie.

Une signature appréciée…

Ainsi, parce qu’il maîtrise complètement toutes les nombreuses et très différentes techniques de fabrication depuis la sculpture jusqu’à la finition, Augis peut garantir une qualité irréprochable.

C’est alors seulement, à la suite de ces dizaines d’opérations méticuleuses, réalisées avec le savoir-faire accumulé par plusieurs générations, que ce petit bloc d’or devient un « bijou ».

Le premier de nos bijoux. Celui que l’on porte dès sa naissance, et que l’on garde toute sa vie : une médaille signée A. Augis.

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